mardi 10 septembre 2013

Le K.K.K.B. à 100% derrière Vladimir Poutine


Non, ce n’est pas incompatible : on peut être nationaliste belge, intégriste de la frite belge et en même temps soutenir le combat de Vladimir Poutine. Ce dernier lutte héroïquement pour la souveraineté du peuple syrien et pour les droits de l’homme de manière plus générale. Or, il n’y a pas que la défense de la frite belge qui compte pour nous ! En effet, grâce à son action exemplaire la Russie est de moins en moins touchée par les gangrènes que sont l’homosexualité et autres perversions contre-nature.

On compte de moins en moins d’homosexuels en Russie. Il y en a certainement autant qu’avant mais la différence c’est qu’ils se cachent. On ne les voit plus et ça fait du bien ! Ces lâches ont peur de se faire casser les ongles ou tirer les cheveux ! Tout cela n’est possible que grâce à la politique mise en place par Vladimir Poutine. En effet, de nombreux nationalistes russes ont le droit de se mettent en groupe pour piéger des homosexuels sur internet : ils leur donnent un rendez-vous puis les tabassent et urinent dessus. Les vidéos des sévices sont ensuite diffusées sur internet et permettent d’envoyer un message fort aux homosexuels et aux pédophiles.

Or nous venons de tomber sur un groupe d’homosexuels parisiens qui cherchent à piéger Vladimir Poutine en réaction aux agressions homophobes en Russie ! Nous ne laisserons pas faire ces terroristes et nous avons prévenu l’ambassade russe de Belgique afin que Vladimir ne tombe pas dans le piège. Ci-dessous nous avons pu intercepter la lettre qu’ils ont envoyée à Vladimir Poutine :

Vladimir,

Nous ne nous connaissons pas aussi profondément que je le voudrais mais cela fait pourtant des années que nous sommes liés par une relation à sens unique. Si j’ose aujourd’hui dévoiler cette romance au grand jour, c’est que je ne peux plus vivre avec ce lourd secret né dans les montagnes du monts Baïkal en octobre 2002. Tu venais de fêter tes 60 ans et, malgré notre différence d’âge, je suis tombé raide amoureux.

J’imagine que tu souviens les heures que nous avons passé à pécher ensemble. Ce n’était ni très catholique et pas vraiment orthodoxe, mais tu avais un don certain pour saisir mon anguille malgré le mucus qui s’en écoulait quasi-constamment. Peut-être aurais-je dû être plus ferme et exiger que tu t’engages pour de bon, mais à l’époque j’étais trop envouté par toi pour oser te demander la moindre faveur. Tes gâteries me contentaient largement et j’étais dans l’inconscience de l’amour.

Vladimir, de tes cuisses puissantes à tes tétons saillants, tout me plait chez toi. Tu es pour moi l’homme idéal et je voudrais tant pouvoir faire glisser ma langue sur le bout de tes lèvres avant de lentement descendre ma main dans ton pantalon. Tel un esclave, je serais entièrement soumis à tes désirs et pulsions. Il ne se passe pas une journée sans que je ne fantasme sur toi et je ne peux plus me contenter de cette relation à distance d’un tir de missile R-12 Dvina (tu te souviens de notre escapade à la baie des cochons ?). 

Certes, tu fais déjà beaucoup pour moi avec les nombreuses photos que tu fais diffuser dans la presse à mon intention. Comme tu t’en doutes j’adore celles où tu exhibes fièrement tes muscles et ton torse parfaitement épilé. Tu ne peux pas t’imaginer le nombre de fois où j’ai rêvé de me faire chevaucher sauvagement par ton corps d’athlète. J’aimerais tant me retrouver avec ton poing d’acier plongé dans ma cavité anale et capter ton regard de glace depuis mes yeux débordant de plaisir.

Il serait temps que le génocide quotidien de mon sperme ne se fasse plus sur du papier glacé mais sur ta peau aussi douce que le glaçage d’un koulitch. Je comprends qu’avec tes responsabilités, un coming-out de ce type est particulièrement risqué. Mais tu as déjà fait le premier pas en révélant le 6 juin dernier ton divorce avec celle qui te servait d’alibi hétérosexuel depuis de nombreuses années. Je ne te juge pas pour cela, tu as choisi de faire comme Tchaïkovski, mais il serait temps d’accepter la réalité : tu es homosexuels et seuls des hommes sont capables de te procurer de réels orgasmes. Pourquoi continuer à cacher l’évidence ?

Tout chez toi transpire l’homosexualité et ton regard coquin de petit rongeur cache très mal ton appétit pour les glands. Il serait temps de l’accepter afin que nous puissions vivre d’amour et de semence fraiche. Ne préfèrerais-tu pas gouter mon fluide vital directement depuis la source plutôt que de te contenter de le lécher les dépôts sur les mots doux que je t’envoie maintenant depuis plus de dix ans ? Mon Vladounet, ne crois-tu pas que ta position radicale vis-à-vis des homosexuels ne va justement pas susciter des suspicions ? Il y a encore quelques années, c’était une bonne stratégie pour dissimuler ton amour inconditionnel envers les hommes et les organes de dauphins… Mais aujourd’hui tu ne trompes plus personne en dehors des quelques éponges à vodka attardées qui votent réellement pour toi.

Je comprends qu’il n’est pas facile de se débarrasser du personnage d’homophobe que tu joues depuis ton adolescence afin de réussir dans ce pays d’alcooliques aussi peu raffinés qu’éduqués, mais c’est de notre bonheur dont il dépend. Je voudrais te revoir courir dans les alpages avec la petite robe à fleur que je t’avais achetée. Tu te souviens comme tu étais beau avec ta potiche de couettes blondes ? J’ai encore à l’esprit ton sourire radieux au moment où je venais de te faire gouter mes selles. J’ai envie de sentir à nouveau ta langue se promener entre mes orteils pendant que nos pénis s’entrechoquent. J’ai envie de me retrouver seul avec toi, nus et prêts à en découdre  sur le tatami de l’amour.

Comme tu peux le lire, je n’en peux plus de vivre loin te toi. J’ai envie que tu me pourchasses jusque dans les chiottes s’il le faut et que tu m’enfiles le boublik. Je veux que tu me violes comme on viole une pute tchéchène de 12 ans, je veux ressentir la douleur et entendre tes râles raisonner dans ma tête. Si nous ne trouvons pas vite une solution, il se pourrait que je fasse des bêtises…

Je ne veux pas te mettre d’autre pression que celle que je déclenche dans les vaisseaux sanguins de ton pénis, mais il est temps de faire un choix. Je t’aime comme jamais personne ne t’a aimé, tu le sais. Le pouvoir n’est que bien peu de chose vis-à-vis de l’amour. Certes, il procure les mêmes sensations que la sodomie mais sans l’odeur et les pertes. Il est grand temps que tu reviennes vers moi, nous nous aimons et comme tu me le chantais souvent derrière ton piano : « Так было, так есть и так будет всегда! ».

Je te propose donc que nous nous retrouvions et je te donne rendez-vous le 7 octobre prochain au Cox aux alentours de 22h00. J’ai hâte de te voir, pas la peine de ramener du polonium 210 comme à ton habitude, j’aurais tout ce qu’il faut.

Ton Boris.

 


Heureusement Vladimir Poutine ne tombera pas dans le piège puisque nous avons donc pu le prévenir. Nous tenons d’ailleurs à noter que l’ambassade russe de Belgique ne nous a même pas encore remercié de leur avoir communiqué ce projet d’attentat homosexuel visant Vladimir Poutine. De là à affirmer qu’ils sont peut-être déjà infiltrés par des homosexuels…

mercredi 31 juillet 2013

« Je me ferais bien un routier avec une mitraillette »

C’est le slogan que nous avons choisis pour la rentrée 2013. Tous les cadres de notre mouvement le font régulièrement et nous invitons tous les belges à faire de même. Ce geste, pourtant si simple, apporte une telle satisfaction qu’il est difficile de ne pas récidiver. Cette campagne se déclinera sous 3 formes : une video sur youtube, une campagne d’affichage sur les autoroutes belges et une distribution de tee-shirt ayant pour slogan « Je me ferais bien un routier avec une mitraillette ».

Je me souviens encore du jour où je me suis fait mon premier routier. En général on se fait son premier routier à la main, mais moi, c’était au couteau (c’est moins salissant). Tout s’est passé très vite mais je me souviens encore de l’immense sentiment de satisfaction que j’ai éprouvé juste après… Le simple fait d’évoquer ce souvenir me donne des frissons dans tout le corps et un début d’érection du bras droit.

Malheureusement, depuis quelques années, nous voyons que les belges changent de comportement. Les traditions se perdent et les routiers n’ont plus autant de succès que par le passé. Nous avions déjà des problèmes avec ceux qui préféraient se taper des grecs plutôt que des routiers et maintenant la concurrence est de plus en plus féroce. Nous voulons donc sensibiliser les jeunes belges et les éloigner des fast food venus de l’étranger.

Pour se faire nous devons réhabiliter les mitraillettes, les routiers et autres spécialités belges à base de frite belge de souche. Nos friteries et nos snacks n’ont pas dit leur dernier mot face à Mcdonalds ! Nous ne nous laisserons pas faire et nous préférons mourir debout que de vivre à genoux ! Nous défendrons l’honneur de la frite belge jusqu’à la mort s’il le faut !

Le gouvernement belge fait tout pour nous museler et nous empêcher de dire la vérité au peuple belge. Une fois de plus nous imaginons qu’ils vont essayer de nous censurer en trouvant un prétexte bidon ! On se souvient encore de notre dernière campagne contre les frites au four qui avait été censuré sous prétexte d’antisémitisme ! Tout cela pour un malheureux tee-shirt où l’on voyait Adolphe Hitler avec une frite à la main qui déclarait « les juifs au four, les frites à la friteuse ! » ! C’est vrai que c’était peut-être maladroit mais nous n’avions pas l’intention de choquer… Mais cette fois-ci les juristes de nos amis de Nation.sf nous ont donné un coup de main et nous ne devrions pas avoir de problème.

Les français nous ont déjà volé les frites (qui se sont appelées « French fries » en Amérique car les belges rencontrés par les américains lors du débarquement parlaient en français… Bref, on s’est encore bien fait baiser par ces ordures de français !) et on ne va pas laisser les américains nous voler nos obeses !



mardi 18 juin 2013

REVENDICATION DE L’ATTENTAT DE FOURNES-EN-WEPPES


Le K.K.K.B. appelle une fois les terroristes responsables de l’attentat du 17/06 (sur la RN 41 à Fournes-en-Weppes) à revendiquer la paternité de cet attentat au plus vite. Certes, nous ne pouvons que saluer cette action qui a menée au blocage de 25 tonnes de pomme de terre françaises avant que ces dernières n’arrivent sur notre sol, dans nos fabriques de frites, puis dans nos assiettes. Mais le problème c’est que ces pommes de terre impures (qui devaient être livrées à Nieuwkerke puis à la grosse usine de frites surgelées Clarebout de Warneton) ont quand même terminé leur voyage puisque le patron de la société de transport a fait le nécessaire pour que le chargement soit repris par un autre ensemble routier.

Nous ne voudrions pas que le K.K.K.B. soit tenu pour responsable de cet attentat raté. Nous ne sommes pas responsables de cet échec qui va contribuer au déclin de la frite belge. Si nous avions trempé dans cet attentat, nous aurions pris le soin d’exterminer une à une ces pommes de terre françaises qui n’ont rien à faire en Belgique !

Nous appelons donc solennellement les responsables de cet attentat à se dénoncer au plus vite. Parallèlement, nous indiquons très clairement que le K.K.K.B. n’est pas responsable de cette mascarade.